495 research outputs found

    Measuring the Sustainability of Cities: A Survey-Based Analysis of the Use of Local Indicators

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    We analyze 17 studies of the use of sustainable development indicators (SDI) in an urban setting. The analysis reveals a lack of consensus not only on the conceptual framework and the approach favored, but also on the selection and optimal number of indicators. First, by performing different classifications and categorizations of SDI we identify problems inherent in territorial practices that use SDI. Second, we argue that the lack of consensus in several steps of the creation of SDI stems notably from the ambiguity in the definitions of sustainable development, objectives for the use of such indicators, the selection method and the accessibility of qualitative and quantitative data. Third, we propose a selection strategy for SDI through which we demonstrate the need to adopt a parsimonious list of SDI covering the sustainable development components and their constituent categories as broadly as possible while minimizing the number of indicators retained. Nous analysons 17 études traitant de l’utilisation d’indicateurs de développement durable (IDD) en milieu urbain pour différents pays, provinces ou états occidentaux. 188 IDD différents sont recensés dans ces études dont 135 (72 %) ne sont utilisés qu’une ou deux fois. L’analyse de ces études révèle ainsi un faible consensus non seulement au niveau du cadre conceptuel ou de l’approche préconisée, mais aussi en ce qui concerne la sélection et le nombre d’indicateurs optimal. Premièrement, différents classements et catégorisations des IDD recensés nous permettent d’observer et d’identifier les problèmes inhérents aux pratiques territoriales ayant recours aux IDD. Deuxièmement, nous argumentons que l’absence de consensus à plusieurs étapes de la création des IDD émergent entre autres de l’ambiguïté occasionnée par la définition du développement durable, des objectifs visées par l’utilisation de tels indicateurs, de la méthode de sélection préconisée et de l’accessibilité des données qualitatives et quantitatives en cette matière. Troisièmement, nous proposons une stratégie de sélection des IDD (que nous appelons SuBSeleC) où nous démontrons la nécessité d’adoption d’une liste parcimonieuse d’IDD couvrant le plus largement possible les volets du développement durable et des catégories qui les composent tout en minimisant le nombre d’indicateurs retenus. Le résultat est une liste concise et moins redondante d’indicateurs moins sectoriels et plus intégrateurs ayant l’avantage d’englober les dimensions intégrées du développement durable.Cities, Indicators, Sustainable Development, Environment, Local Governance., Villes, indicateurs, développement durable, environnement, gouvernance locale.

    Réarrangement de génomes par inversions et analyse de l'ensemble des solutions minimales

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    Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal

    Transports et écofiscalité : impacts et acceptabilité des écotaxes appliquées aux transports urbains de passagers

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    La réduction de la pollution et de la congestion associées au transport de personnes sont au cœur des préoccupations du développement urbain durable (Charlot-Valdieu et Outrequin, 2011). A cet égard, la présence de ces externalités négatives associées aux transports urbains découlerait en grande partie du fait que chaque véhicule impose à la société des coûts importants non défrayés par les automobilistes (Gagnon et Pineau, 2013). L'utilisation de taxes environnementales fait partie des outils envisagés pour réduire ces coûts externes (OCDE, 2006). Cela nous amène à la question générale suivante : L'écofiscalité représente-t-elle une solution efficace et acceptable pour réduire les externalités liées aux émissions de gaz à effet de serre (GES) et à la congestion dans le transport urbain de personnes? TI est en effet reconnu qu'une tarification incluant l'internalisation des coûts externes devrait être une base pour tendre vers des transports durables (Santos et coll., 2010a, b). Toutefois, l'élaboration de telles politiques constitue encore un défi au niveau de la recherche (Himanen et coll., 2004). C'est dans ce contexte que nous nous posons la question spécifique suivante : Quelles sont les incidences, en matière d'efficacité et d'équité, de différents types de mesures, considérées individuellement et en combinaisons? Pour y répondre, nous partons du fait que l'impact sur les émissions de GES du secteur des transports routiers découle des trois facteurs suivants : le stock de véhicules, l'efficacité énergétique moyenne de ceux-ci ainsi que le kilométrage parcouru par adulte. À ceux-ci s'ajoute la période d'utilisation, laquelle contribue au problème de congestion. Une intervention publique ayant un impact sur une de ces variables est susceptible d'induire également un effet opposé sur une autre variable. Ainsi, une mesure destinée à encourager une amélioration de l'efficacité énergétique des véhicules, comme le bonus-malus, est susceptible d'induire une hausse de leurs stocks (en abaissant le coût des voitures d'entrée de gamme). De même, une écotaxe appliquée exclusivement aux automobilistes circulant au centre-ville (p. ex. : péage urbain) pourrait théoriquement y réduire le nombre d'automobilistes en les faisant fuir vers la banlieue, là où ils seraient susceptibles de parcourir de plus grandes distances. Il faut aussi prendre en compte qu'une amélioration de l'efficacité énergétique des véhicules équivaut à une baisse du prix de l'essence. Cette dernière mesure induirait donc une hausse des distances parcourues, ce que les économistes appellent l'effet rebond. Ainsi, l'impact réel de plusieurs mesures, notamment en matière de réductions d'émissions de GES, demeure difficilement prévisible. Les incidences s'avèrent encore moins bien documentées lorsque des combinaisons de mesures sont envisagées. Cela nous mène aux questions subsidiaires suivantes : Quelles variables influencent le stock de véhicules, l'efficacité énergétique moyenne de ceux-ci ainsi que le kilométrage parcouru par adulte? Peut-on mesurer l'impact global de ces mêmes variables sur les émissions de GES, afin de discerner l'effet dominant lorsqu'un incitatif peut induire des effets opposés? Quelles sont, dans le cas de panier de mesures, les incidences de leur synergie? Ensuite, eu considérant qu'un des objectifs des stratégies recherchées consiste à favoriser le développement des transports collectifs, la question suivante est également posée : Quelle est l'incidence des mesures envisagées et de leurs combinaisons sur les taux d'utilisation des transports collectifs? Répondre à ces questions donnera des indications sur l'efficacité des mesures étudiées visant à réduire les émissions de GES, la congestion et à faciliter l'utilisation des transports collectifs. Toutefois, leur impact social demeure également un enjeu majeur, notamment en matière d'acceptabilité, d'où une dernière question : Quelles combinaisons de mesures tendraient à apporter une amélioration du bien-être de la société, en particulier pour les ménages les moins fortunés et ceux de la classe moyenne? Nous présentons ici les résultats de plusieurs études quantitatives visant à répondre à ces questions. Celles-ci empruntent deux approches différentes et complémentaires. Une participation à deux groupes de discussion complète la démarche. L'ensemble des travaux est présenté sous forme de quatre articles, dont deux sont rédigés en anglais, pour des fins de publications ultérieures. Des ajustements seront toutefois nécessaires

    The carbon fraction in biomass and organic matter in boreal open woodlands of Eastern Canada

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    In Canada, boreal open woodlands (OWs) show interesting afforestation potential, but no detailed study is available regarding the carbon fraction (CF) of dry matter in biomass and litter reservoirs (tonne C/tonne dry mass). This study aimed at providing the very first specific CF values of C reservoirs and compartments in OWs, with the main hypothesis that given the particular stand characteristics of OWs, more precise CF values than IPCC’s default values would significantly change the calculation of C stocks in OWs. Results indicate that even though the CF values measured in this study were significantly different among the different C reservoirs and compartments in OWs, they matched the IPCC default CF values for the biomass (0.50) and humus (0.37) reservoirs. Therefore, the main hypothesis of this study – that more precise CF values than IPCC’s default values would significantly change the calculation of C stocks in OWs – was not supported by the results. Consequently, the IPCC default values of the CF in the biomass and litter (humus) reservoirs can be used to estimate C stocks in boreal OWs, for example when using OWs as the baseline scenario in afforestation projects. Les terrains dénudés secs (DS) boréaux du Canada montrent un potentiel de boisement intéressant, sauf qu’aucune étude détaillée n’est disponible à propos de la fraction carbonique (FC) de la matière sèche dans les réservoirs de la biomasse et de la litière (tonne de C par tonne de masse sèche). La présente étude visait à fournir les toutes premières valeurs spécifiques de FC des réservoirs et compartiments de C des DS, avec l’hypothèse principale que vu les caractéristiques particulières des DS, des valeurs de FC plus précises que les valeurs par défaut du GIEC changeraient significativement le calcul des stocks de C dans les DS. Les résultats indiquent que bien que les valeurs de FC étaient significativement différentes entre les réservoirs et compartiments des DS, elles étaient similaires aux valeurs par défaut du GIEC, tant pour les réservoirs de la biomasse (0.50) que de la litière (0.37). Ainsi, l’hypothèse principale de l’étude – que des valeurs de FC plus précises que les valeurs par défaut du GIEC changeraient significativement le calcul des stocks de C dans les DS – n’est pas soutenue par les résultats. Par conséquent, les valeurs de FC par défaut du GIEC pour les réservoirs de la biomasse et de la litière (humus) peuvent être utilisées pour estimer les stocks de C des DS boréaux, par exemple lorsque les DS font office de scénario de référence dans des projets de boisement

    X-Linked MTMR8 Diversity and Evolutionary History of Sub-Saharan Populations

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    The genetic diversity within an 11 kb segment of the MTMR8 gene in a sample of 111 sub-Saharan and 49 non-African X chromosomes was investigated to assess the early evolutionary history of sub-Saharan Africans and the out-of-Africa expansion. The analyses revealed a complex genetic structure of the Africans that contributed to the emergence of modern humans. We observed partitioning of two thirds of old lineages among southern, west/central and east African populations indicating ancient population stratification predating the out of Africa migration. Age estimates of these lineages, older than coalescence times of uniparentally inherited markers, raise the question whether contemporary humans originated from a single population or as an amalgamation of different populations separated by years of independent evolution, thus suggesting a greater antiquity of our species than generally assumed. While the oldest sub-Saharan lineages, ∼500 thousand years, are found among Khoe-San from southern-Africa, a distinct haplotype found among Biaka is likely due to admixture from an even older population. An East African population that gave rise to non-Africans underwent a selective sweep affecting the subcentromeric region where MTMR8 is located. This and similar sweeps in four other regions of the X chromosome, documented in the literature, effectively reduced genetic diversity of non-African chromosomes and therefore may have exacerbated the effect of the demographic bottleneck usually ascribed to the out of Africa migration. Our data is suggestive, however, that a bottleneck, occurred in Africa before range expansion

    Etude clinique et épidémiologique du paludisme en zone urbaine d'Afrique soudano-sahélienne (Pikine-Sénégal)

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    Pour des raisons de coût et de tolérance, la chimiothérapie présomptive repose toujours essentiellement sur la chloroquine, malgré l'apparition, il y a dix ans en Afrique de l'Est, de souches de #Plasmodium falciparum$ résistantes à la chloroquine et leur extension à l'ensemble de l'Afrique intertropicale. Dans le cas des zones urbaines, plusieurs particularités épidémiologiques du paludisme suggèrent qu'à partir de certains niveaux de chimiorésistance d'autres stratégies de lutte anti paludique pourraient être développées avec un meilleur rapport coût/efficacité. Dans une première approche de cette question, une recherche a été faite à Pikine, à savoir s'il existait des paramètres cliniques ou épidémiologiques, faciles à obtenir chez un enfant consultant pour fièvre, qui permettraient de choisir entre trois attitudes possibles : abstention thérapeutique, traitement présomptif, confection d'une goutte épaiss
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